… en Europe, 25,8 millions de tonnes de déchets plastiques sont produites chaque année, dont 60% proviennent des emballages.
Les suremballages des produits, c’est la faute aux super- marchés, c’est la faute aux fabricants, aux fournisseurs …. oui sûrement, mais pas seulement.
Les suremballages, c’est aussi la responsabilité des consommateurs qui les acceptent, voire les provoquent en se faisant séduire par le packaging. Redevenons des consommateurs avertis et non des acheteurs d’une certaine manière infantilisés ! > Lire la suite
Perte d’audition : 7 jeunes sur 10 parmi les 15–30 ans ont déjà ressenti des troubles auditifs. Quels sont les dangers de l’écoute au casque ?
La musique au casque, fort et souvent, c’est le cocktail toxique débouchant sur une perte d’audition à terme, que s’offrent la majorité des 15–30 ans, pourtant conscients des risques pour leur audition. Mais le plaisir passe avant tout.
Le plaisir passe avant tout
Une étude réalisée en ligne entre le 23 et le 31 octobre 2014 sur un échantillon national représentatif (1) vient d’être publiée. Plus des trois quarts des 15–30 ans ont déjà connu des acouphènes (bourdonnements ou sifflements dans les oreilles) ou une perte d’audition à la suite d’une forte exposition sonore. Les troubles auditifs ne sont plus réservés aux personnes âgées.
Mélanome le mot qui fait peur. Il est du à une exposition trop forte au soleil. Le soleil est un faux ami.
Pas de protection. Voila le résultat.
Une jeune femme de 24 ans, en pleine forme, attend tout de la vie. Une journée de plage dans le sud en juillet, avec à la clef un coup de soleil carabiné, vient nous le pensons, tout bouleverser. Sur une peau de blonde, il a un effet ravageur, avec fièvre et brûlure pendant trois jours.
En avril suivant apparaît une sorte de grain de beauté sur l’avant bras gauche que le médecin conseille d’enlever , une exérèse comme on le dit en terme médical. > Lire la suite
L’ économie autrement : l’économie sociale et solidaire ou ESS
« Les profits ne vont pas aux investisseurs mais à la société »
L’ économie sociale et solidaire, son origine.
Associations, mutuelles et coopératives se sont particulièrement développées au cours des XIXème et XXème siècles, s’inscrivant dans un courant intellectuel et social (socialistes, chrétiens, libéraux et radicaux) à la recherche d’une plus grande équité dans l’économie et d’alternatives au capitalisme. C’est le début de l’économie sociale et solidaire.
Les coopératives se sont développées dès 1844 à la suite des tisserands de Rochdale :En 1844, 28 tisserands se rassemblent donc pour fonder, grâce à de modestes souscriptions, une association, « la Société des Équitables Pionniers de Rochdale », et ouvrent un magasin coopératif.
« Une coopérative est une association autonome de personnes volontairement réunies pour satisfaire leurs aspirations et leurs besoins économiques, sociaux et culturels communs au moyen d’une entreprise dont la propriété est collective et où le pouvoir est exercé démocratiquement. » d’après l’alliance coopérative internationale. > Lire la suite
« D’après l’étude OBEPI de 2012, 32,3% des Français adultes de 18 ans et plus sont en surpoids et 15% présentent une obésité.
La prévalence de l’obésité et du surpoids chez les enfants et les adolescents a aussi fortement augmenté entre les années 1980 et 2000 en France. La situation semble se stabiliser. Ainsi, en 2015, 17 % des enfants âgés de 3 à 17 ans sont en surpoids ou obèses, dont 3 % des garçons et 4 % des filles classés comme obèses . »
…« L’obésité est une maladie qui peut entraîner de nombreuses conséquences sur la santé, quelles soient métaboliques et vasculaires (diabète de type 2, hypertension artérielle, atteintes cardiovasculaires, …), respiratoires avec notamment un risque accru de syndrome d’apnée du sommeil, ou encore orthopédiques (arthrose, lombalgie).
Grave surpoids
L’obésité est aussi associée à un risque plus important de certains cancers, en particulier de cancer de l’endomètre.
« Mais au-delà de ces conséquences physiques, il faut souligner le retentissement psychologique et social de la maladie : stigmatisation, mauvaise image et mésestime de soi, sentiment d’exclusion et d’incompréhension dû à l’intolérance sociale et médicale qui entoure l’obésité, » … > Lire la suite
Nous n’avons pas la compétence suffisante pour avoir une position publique sur le sujet des faits religieux et en particulier sur l’islam, sujet source de polémiques s’il en est.
Nous nous contenterons donc de produire le témoignage de cet ancien proviseur de Marseille particulièrement éloquent. Chacun pourra se faire sa propre idée.
Mais c’est à éduscol que nous empruntons en TOTALITÉ ce qui suit :
Néanmoins nous la citons et lui apportons notre soutien car elle porte des valeurs que nous partageons dans les associations familiales, convivialité, partage, échange, altruisme, solidarité ….
Fondée au 13éme siècle la Grange de Beauvais dépendait de l’abbaye de Pontigny.
« La grange devait retrouver sa vocation de ferme cistercienne en profitant de la restauration de l’ancien enclos des frères convers de trois hectares autour de l’édifice », nous dit Jean-Claude HEROLT, vice-président de l’association. > Lire la suite
Le dos ? « Le bon traitement, c’est le mouvement » ?
Le mal de dos peut être très douloureux. Pourtant, il n’existe pas de lien entre l’intensité des douleurs et leur gravité. Il ne faut donc pas que la crainte de la douleur entraîne la peur de bouger. Il est d’ailleurs essentiel de reprendre une activité normale dès que possible, afin d’empêcher le cercle vicieux du mal de dos de s’installer. De fait, la crainte de la douleur et la peur de bouger peuvent retarder la guérison et pourtant : “Arrêter de bouger, c’est se rouiller !”.
L’Yonne connaît aussi le « mal au dos », parfois appelé le « mal aux reins », c’est généralement « une lombalgie ». Quelle solution ? Depuis le lancement national du programme global de sensibilisation « Mal de dos ? Le bon traitement, c’est le mouvement. », les Caisses d’Assurance Maladie de la région Bourgogne ‐ Franche‐Comté relayent le nouveau réflexe à adopter en cas de lombalgie.
Enquête sur le prix des obsèques : les pratiques contestables des sociétés de pompes funèbres
Vivre l’Yonne emprunte à Familles Rurales, mouvement familial, l’intégralité du texte paru sur son site.
La France enregistre 600 000 décès par an. Toutes les familles y sont confrontées mais peu sont suffisamment armées pour résister aux pratiques parfois contestables de sociétés de pompes funèbres, c’est ce que démontre une enquête menée par Familles Ruralesen août et septembre 2017, sur le prix des obsèques.
Les clients mystères ont, chaque fois, formulé la même demande « disposer du devis le moins cher possible pour une crémation et une inhumation » (hors frais de concession), les constats sont édifiants :
¬ Des prix qui varient de 1 à 5 selon l’établissement visité pour inhumation et de 1 à 3 pour une crémation,
¬ Une réglementation qui protège les familles dans un moment où elles sont particulièrement vulnérables, mais qui n’est respectée que par 4 établissements / 10.