L’UNAF reçoit Macron."Vivre l'Yonne" est une association familiale. Il ne lui appartient pas de prendre parti politiquement. Toutefois le Président étant élu, il s'agit seulement de respecter les institutions. Nous prenons donc l'initiative de reproduire l'article paru de la lettre électronique de l'UNAF, chargée d'être légalement porteur des intérêts des familles.
Info UNAF 09/05/2017 :
« Emmanuel Macron vient d’être élu Président de la République. Au cours de sa campagne, l’UNAF a pu à plusieurs reprises échanger avec lui et ses équipes sur ses engagements pour les familles.
Le 3 mai dernier, à quelques jours du 2e tour, Emmanuel Macron a souhaité rencontrer l’UNAF. A cette occasion, Marie-Andrée Blanc, présidente de l’UNAF et Guillemette Leneveu, directrice générale, ont tenu à lui rappeler à quel point il était important de donner confiance aux familles après les années d’efforts qui leur ont été imposée. > Lire la suite
Le rôle du président de la République expliqué aux enfants
Comme tous les cinq ans, dimanche 7 mai, les Français votent pour élire leur chef – le président de la République – à l’occasion du second tour de l’élection présidentielle. Le rôle de la personne élue est défini dans un texte, la Constitution, adoptée en 1958.
Mais pourquoi a t-on besoin d’un président ? A quoi sert-il au juste ? Comment fait-il pour travailler ? avec l’aide de francetv éducation et de Milan Presse Franceinfo l’explique aux enfants, et …
Les statistiques sont là, avec leur verdict implacable. Environ 11 000 personnes par an meurent par suicide, soit trois fois plus que par les décès par accidents de la circulation. Environ 200 000 tentatives de suicide, sont prises en charge chaque année par les urgences hospitalières. Les hommes sont pour les 3/4 victimes du suicide, tandis que les femmes sont majoritaires dans les tentatives liées aux intoxications médicamenteuses.
Une main sur l’épaule pour aider une personne déprimée…
Selon une étude de la Direction Générale de la Santé ce sont les classes dites actives les plus touchées : 22 % pour les 45-54 ans, et 17 % chez les 35-44 ans et 55-64 ans. Chez les jeunes de 25-34 ans, hélas, le suicide est la première cause de mortalité, 20 %, après les accidents de circulation. II faut noter que le taux de suicide augmente avec l’âge, passant de 7 % pour les 15-24 à 41 % chez les 85-94 ans…avec un pic de 28 % pour les plus de 65 ans. > Lire la suite
Un club service est un type d’organisation dont les membres partagent les mêmes valeurs. Ils se rencontrent régulièrement et mènent des actions caritatives et éducatives, soit par eux-mêmes, soit en finançant d’autres associations, tout en développant une sociabilité fondée sur des critères sociologiques implicites.
Il y a plusieurs clubs services dans l’Yonne, Lyon’s club, Rotary, Kiwanis , club 41, table ronde ….
Depuis sa première campagne de vaccination d’enfants aux Philippines en 1979, le Rotary et ses partenaires ont réduit le nombre de cas de polio de 99.9 %.
Grâce aux Rotariens, plus de 2.5 milliards d’enfants ont été vaccinés contre la polio dans 122 pays. Pour seulement environ 50 centimes d’Euro, un enfant peut être protégé à vie de cette maladie invalidante
Aujourd’hui, si l’on en croit l’OMS dans son communiqué d’Août 2020, on peut considérer l’éradication de la poliomyélite comme un fait acquis. > Lire la suite
Les femmes sont invitées à être actrices dans leur quartier. Le 24 novembre 2016, France Médiation et la Fondation CHANEL ont reçu le prix « A but non lucratif – Non profit Awards » pour le projet des marches exploratoires, dans la catégorie « citoyenneté et éducation ».
Ce prix, organisé par BFM Business, récompense les partenariats
médiation-sociale : une démarche
entre associations et entreprises, pour des projets d’intérêt général.
Les associations vivantes sont évaluées en France à 1,3 million, parmi lesquelles 165 000 emploient du personnel, d’après Edith Archambault et Viviane Tchernonog du Centre d’économie de la Sorbonne CES-CNRS (selon une étude de 2010).
Nous apprenons aussi que 45% des plus de 18 ans sont membres d’au moins une association, soit 23 millions de personnes. Le secteur sportif est toujours celui qui attire le plus d’adhérents.
Les associations employeuses font travailler 180 000 salariés à qui elles versent 37 milliards d’euros de salaires (bruts, hors
Les associations : une toile d’araignée
cotisations patronales), soit 6% de la masse salariale du secteur privé et près de 5% de celle globale des secteurs publics et privés.
De même, les associations œuvrent avec, ou grâce, à 20 millions de bénévoles, d’aprèsFrance Bénévolat. Le bénévolat est plus faible chez les jeunes et les personnes du quatrième âge, chez les femmes que chez les hommes, chez les moins diplômés. > Lire la suite
La publicité à la télévision publique et la jeunesse.
Le 7 décembre dernier, le Sénat a adopté à l’unanimité (213 voix pour, 0 contre) la proposition de loi visant « à supprimer la publicité commerciale de la programmation jeunesse de la télévision publique », présentée par André Gattolin, Sénateur des Hauts de Seine du mouvement Europe Écologie les Verts.
La télévision n’est pas adaptée aux moins de 3 ans
Les arguments majeurs avancés tendent à protéger les enfants de « méthodes pernicieuses de surconsommation alimentaire de produits sucrés, salés ou gras », aux risques de conséquences néfastes alors que l’on constate une progression de l’obésité infantile.
D’autres présentations, sous forme de jouets par exemple, peuvent inciter les enfants à réclamer des équipements pouvant grever des budgets familiaux de façon déraisonnable…
Concernant les funérailles d’un défunt, depuis longtemps déjà, se pratique la cérémonie civile ou laïque, aujourd’hui républicaine, pour les personnes ne souhaitant pas intégrer d’aspects religieux.
Ceci depuis que la loi du 9 décembre 1905 ait consacré le principe de séparation entre l’Église et l’État ainsi que la liberté de conscience et de pratique cultuelle.
Cette cérémonie de funérailles civiles laisse beaucoup de libertés à la famille puisque rien n’est obligatoire, tout est axé sur le souvenir et l’hommage au défunt. > Lire la suite
Des faits gravissimes touchent depuis plusieurs mois notre pays, nos familles, nos enfants, nos amis, les institutions. Même si Vivre l’Yonne se garde bien de prendre des positions de nature politique (bien sûr contraires à son objet), en tant qu’associations familiales, nous nous sentons interpellées. C’est dans cet esprit que nous nous exprimons, et non dans ce qui serait un refus de l’Islam.
Que ce soit un prêtre, un pasteur, un rabbin, un imam, la réaction d’écœurement serait la même.
Après les journalistes de Charlie Hebdo, les clients de l’HyperCacher, le patron de l’Isère, les jeunes du Bataclan et des cafés voisins, les nombreux policiers, les malheureux de Nice, peut-on vivre normalement, sans haine et sans colère ?
Devant les Députés le mardi 16 juin dernier, le Gouvernement par la voie de M. Jean-Marie Le Guen Secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, à l’occasion de deux propositions de Loi a affirmé son opposition ferme et motivée au recours à la Gestation Pour Autrui (GPA), principe réclamé par les couples homosexuels.
Voilà sa déclaration :
« Le groupe Les Républicains a choisi d’inscrire dans sa journée réservée deux propositions de loi relatives à la délicate question de la gestation pour autrui, dont j’ai cru comprendre que ce n’était pas la première fois que notre assemblée avait à débattre.
La première proposition de loi, constitutionnelle, est relative à l’indisponibilité du corps humain ; la seconde, ordinaire, porte sur la lutte contre le recours à une mère porteuse. Attentif à votre démarche, le Gouvernement s’interroge toutefois sur l’opportunité de ces deux propositions de loi.
En effet, elles ne semblent pas apporter de plus-value par rapport au droit existant. On a trop souvent – j’en suis le témoin privilégié dans le cadre de mes fonctions ministérielles – la tentation de légiférer sans utilité. Nous avons même été rappelés à l’ordre à de nombreuses reprises, notamment par le Conseil constitutionnel, sur la tentation que peuvent avoir non seulement les parlementaires, mais aussi le Gouvernement, de légiférer sans utilité majeure.
De plus, pour revenir sur le fond, ces deux propositions de loi tendent à remettre en cause la prise en compte de condamnations de la Cour européenne des droits de l’homme, ainsi que la jurisprudence conforme de la Cour de cassation, au détriment de ce qui devrait pourtant être la priorité de notre attention : l’intérêt de l’enfant.
C’est bien là, me semble-t-il, la seule chose qui doit nous guider, plutôt que l’attachement à tel ou tel dogme. Je réaffirme ici la position constante et ferme du Gouvernement sur le sujet de la gestation pour autrui : il n’est pas question de revenir sur sa prohibition.
Il n’existe aucune volonté de légaliser d’une manière ou d’une autre cette pratique, qui tire profit de la détresse des personnes qui souhaitent y recourir, et participe d’une logique de marchandisation du corps humain que le Gouvernement condamne.
En premier lieu, le Gouvernement ne peut que souligner l’absence d’opportunité de la première de ces propositions, qui a vocation à inscrire dans la Constitution le principe d’indisponibilité du corps humain. En effet, le Conseil constitutionnel a rappelé, en 1994, que le principe de dignité de la personne humaine, contre toute forme d’asservissement et de dégradation, a valeur constitutionnelle.
Ce principe guide notre approche des problèmes liés à la bioéthique.
Par ailleurs, le principe d’indisponibilité du corps humain est déjà inscrit implicitement dans la loi, à travers les dispositions des articles 16-1 et suivants du code civil. Ces dispositions du code civil sont issues de la première loi bioéthique du 29 juillet 1994, que M. Léonetti connaît bien. L’article 16-1 de ce même code consacre le droit au respect du corps humain et son inviolabilité ; cette consécration indirecte s’ajoute à celle, expresse, de la jurisprudence de la Cour de cassation dans son célèbre arrêt « Alma Mater » du 31 mai 1991, dans lequel a été rappelée la prohibition de toute convention de gestation pour autrui.
Notre corpus juridique assure ainsi un cadre protecteur suffisant pour interdire toute commercialisation du corps humain, tout en aménageant la possibilité de prévoir, par la loi, des dérogations justifiées par un intérêt général.
Compte tenu du cadre protecteur déjà existant, la proposition de relever au niveau constitutionnel le principe d’indisponibilité du corps humain ne peut avoir pour effet que de restreindre les exceptions tolérées à ce principe, que le Conseil constitutionnel ne pourrait plus justifier par un motif d’intérêt général : est-ce là le but recherché ? Ériger au niveau constitutionnel le principe d’indisponibilité du corps humain pourrait en effet remettre en cause des pratiques telles que la recherche sur l’embryon, le champ de l’assistance médicale à la procréation ou encore la circulaire du 25 janvier 2013 relative au certificat de nationalité française délivré dans les situations de gestation pour autrui : je ne puis croire que vous poursuiviez de tels objectifs.
Notre arsenal pénal permet aujourd’hui d’appréhender et de réprimer l’essentiel des comportements liés à la GPA. Cela peut se faire sous les qualifications de provocation à l’abandon d’enfant – punie de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende –, d’entremise en vue de l’abandon d’un enfant – punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende –, d’entremise en vue d’une GPA – punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende –, et enfin de fraude à l’état civil – punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.
Les poursuites sont cependant quasi inexistantes contre les sociétés ou organisations qui offrent des prestations de GPA, car ces dernières opèrent depuis l’étranger – notamment depuis la Russie –, sans qu’aucun élément constitutif de l’infraction soit commis en France. Ainsi, la loi française ne s’applique pas, et les actes de complicité commis en France ne sont pas punissables lorsque la GPA est légale à l’étranger. ……. »