Cybermalveillance.gouv.fr : un outil pour bénéficier d’un accompagnement sur-mesure, en cas de piratage.
Vous êtes une entreprise, un particulier ou une collectivité territoriale et vous êtes victime d’un acte de cybermalveillance ? Que faire ? Cybermalveillance.gouv.fr vous aide à parer et à vous prémunir du risque cyber.
Cybermalveillance : quel accompagnement en cas d’acte malveillant sur internet à votre égard ?
Cybermalveillance.gouv.fr est un guichet unique et gratuit qui a pour but d’aider et de conseiller les particuliers, les entreprises et les collectivités territoriales en matière de cybersécurité.
En cas d’acte ou de suspicion de cybermalveillance à votre encontre, la plateforme cybermalveillance.gouv.fr vous accompagne :
- en vous mettant en relation avec des prestataires de proximité compétents pour identifier la nature de l’incident et remettre vos systèmes en état de fonctionnement
- en vous redirigeant vers d’autres plateformes (PHAROS, signal spam, etc) pour vous aider à résoudre votre problème
- en mettant à votre disposition de nombreux contenus et conseils pratiques.
Un kit de sensibilisation aux questions de cybersécurité
Cybermalveillance.gouv.fr a conçu un kit afin de vous sensibiliser vos équipes aux questions de sécurité numérique tout en développant votre formation et celle de vos collaborateurs. Ce kit se compose de 2 volets déclinés en thématiques disponibles sur différents supports pédagogiques : vidéos, mémos, fiches pratiques et fiches « réflexe », BD.
Le premier volet du kit de sensibilisation aborde les thématiques relatives à la gestion des mots de passe, à la distinction entre usage pro et usage perso, au hameçonnage ou phishing et à la sécurité sur les téléphones mobiles et tablettes. Le second volet se concentre sur les mises à jour, les sauvegardes, l’arnaque au faux support technique, les « rançongiciels » (ransomware) et les réseaux sociaux.
Téléchargez le kit de sensibilisation
Lire aussi : Comment protéger ses données personnelles ? | Comment lutter contre les spams
Nous empruntons in-extenso pour cet article, celui paru le 30/10/2019 sur la lettre électronique de Bercy Infos.
merci pour ces informations dont je vais faire usage sans tarder car le service abuse@orange n’agit pas. par ailleurs une plainte en gendarmerie est montée au tribunal et la procureure l’a désignée ‘sans suite’ sans avoir vraiment cherché l’origine de l’arnaque<<<<<<<<<<<<<<<<<<<;